date de fin de lecture : 25 février 2022

Titre : Un été avec Albert

Auteur : Marie Pavlenko

Editions : Flammarion

Pages : 212

Après le bac, l'été de Soledad était tout tracé. C'était sans compter sur le divorce de ses parents et le début de dépression de son père. Changement radical d’ambiance et direction les Pyrénées, chez sa grand-mère. Alors que Sol imagine ses vacances vouées à un ennui mortel, un événement inattendu vient totalement les bouleverser. Entre journées en plein soleil et nuits terrifiantes, Soledad va vivre un été hors du commun.

Roman de Marie Pavlenko sorti l'année dernière, je n'étais pas très inspiré par le titre et le résumé, qui font...comment dire... une histoire cliché d'un été dans la campagne ou le personnage principal rencontre le grand amour de sa vie qui se nomme Albert et qui va sauver ses vacances ! 
Rassurez-vous, ce n'est pas du tout ça ^^ Mais c'est ceux à quoi je m'attendais, et j'ai eu un peu peur que ça détruise l'image que j'ai de cet auteur.
Et finalement, je peux vous certifier que Marie Pavlenko est toujours très haute dans mon estime, et retrouver sa plume dans cette petite histoire m'a fait un grand bien :3

Nous suivons donc Soledad, une jeune fille qui, le bac en poche, est obligé de passer l'été avec sa grand-mère. Elle retrouve la campagne, le bureau de son grand-père - décédé -, les livres de Zola et les clafoutis aux abricots.
L'histoire est assez courte et j'ai peur de vous spoiler en dévoilant la suite. Disons simplement qu'Albert, le vieil arbre au fond du jardin, les protèges, elle et sa mamie.

Un roman jeunesse, rempli de soleil, de fleurs et de chiens, mais un peu angoissant. J'aurais presque rajouter l'étiquette triller, même si bon, pas à ce point xD 
Je ne m'attendais pas du tout à ce déroulement des événements, et j'ai été agréablement surprise !
Alors non, ce n'est pas le meilleur roman de tous les temps, mais il mérite le détour rien que pour la magnifique plume de l'auteur ! 

Je vous souhaites de belle lecture,

On se retrouve le 28 février pour un article bilan du PMPL

Littéralement,

Akilaï